踏风吟/ Seul au vent

秋林呜咽寒鸦啼

冰雨呼啸掩面疾

大道人稀莫有惧

孤身驰掣逆风骑

Les bois d’automne plaignent, les corbeaux crient,

La pluie glacée hurle, fouettant mon visage sans répit.

La grande voie demeure déserte, or nulle peur n’habite,

Seul, j’avance à toute allure, défiant le courant à l’infini.